Des centaines de tonnes de pollution collectées annuellement par les centres de lavage Eléphant Bleu

240g, c’est la quantité de polluants transportée sur la carrosserie d’une voiture. Cette estimation est mesurée à partir des eaux récupérées après chaque lavage dans les fosses de décantation des centres Eléphant Bleu. Aux premières pluies, ces 240g d’hydrocarbures, de résidus d’huiles, de pneus, de plaquettes de freins, chargés de métaux lourds et autres polluants, se déversent dans les nappes phréatiques.
En France, 2% des véhicules ne sont jamais lavés, 22%, une fois par an voire moins[1]. Sur un parc de 33 millions de voitures particulières, on peut considérer que 8 millions de véhicules déversent dans la nature 1 920 t de polluants par an.

Dans sa campagne du 22 mars, pour la Journée Mondiale de l’Eau, l’intention d’Eléphant Bleu est de faire prendre conscience de cette forme significative de pollution passive. Le spécialiste du lavage automobile fait valoir sa fonction de dépollution de la mobilité et de préservation des nappes phréatiques tout en voulant sensibiliser sur l’impact environnemental du non lavage et, par extension, du lavage à domicile.

Dépolluer > prétraiter les eaux résiduelles du lavage et les réintégrer dans le circuit

Les centres Eléphant Bleu sont conçus comme des stations de traitement et intègrent une logique d’économie circulaire. Avant de rejoindre les stations d’épuration, les eaux résiduelles du lavage sont prétraitées pour séparer les substances polluantes. Elles sont ensuite collectées pour être détruites ou revalorisées comme combustibles dans l’industrie ou dans les travaux publics.

Le réseau Eléphant Bleu, fort de 470 centres, couvre toute la France. Ce maillage facilite l’accès des automobilistes à une solution de lavage éco-citoyenne, limitant la propagation de la pollution mobile, préservant ainsi les eaux souterraines.

Inhérent à son activité et sa durabilité, Eléphant Bleu est un acteur de dépollution qui opère dans le respect de la ressource en eau. Son concept est né avec la création du premier lavage économiseur d’eau, le système haute pression, qui consomme 50 à 60 litres, soit l’équivalent d’une douche. Son offre a évolué en restant fidèle au principe de maîtrise la consommation d’eau, meilleur vecteur de dépollution. Ses portiques consomment 150 à 300 litres d’eau et le tunnel, fraîchement lancé, est doté d’un système de recyclage.

Ces réponses technologiques font partie d’une démarche globale de protection de l’environnement et de préservation des ressources. Cette stratégie correspond au rôle sociétal de l’enseigne : dépollution de la mobilité et gestion durable de l’eau.

Sensibiliser > Journée Mondiale de l’Eau, le 22 mars

Lors de cette journée internationale, Eléphant Bleu a fait le choix d’une action média pour sensibiliser les automobilistes au lavage automobile professionnel comme un acte d’éco-consommation.

« Notre objectif est de sensibiliser l’opinion publique sur l’empreinte environnementale du non lavage de la voiture sur les sols et les eaux souterraines, réservoirs de 80% de l’eau potable. L’enjeu est d’initier une autre vision des centres de lavage en faisant valoir leur fonction de dépollution de la mobilité et de préservation des nappes phréatiques », Solen Ecklé, Responsable Marketing groupe Eléphant Bleu.

Campagne à retrouver dans Paris Match et le Journal Du Dimanche du 22 mars.

S’impliquer > Partenariat avec le skipper Fabrice Amedeo

Eléphant Bleu revient dans le monde de la voile, relié par le même vecteur, l’eau, et la même philosophie, la préserver. L’enseigne accompagne le skipper Fabrice Amedeo dans son projet sportif et environnemental. Son monocoque est équipé d’un capteur océanographique qui relève, lors de ses traversées, des données relatives à l’eau. Les scientifiques portent un grand intérêt à cette data et sa récurrence. Fabrice Amedeo associe à ce projet un volet pédagogique soutenue par l’Education Nationale.

« L’axe majeur de ce projet est l’engagement réel et concret porté par l’envie citoyenne d’agir pour la planète. C’est un élément fort partagé avec Eléphant Bleu, qui lui participe à la dépollution de la mobilité et veille à une gestion responsable de l’eau. Quand on sait que 70% de la pollution de la mer vient de la terre, on comprend la valeur et la cohérence de ce partenariat », Fabrice Amedeo, skipper.

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