MIDDLE MEN : SEXE, HUMOUR ET MASTERCARD


Avec “Middle Men”, inspiré d’une histoire vraie, le réalisateur George Gallo signe une comédie sexy extrêmement jubilatoire, qui retrace, en y injectant une bonne dose d’humour noir, les balbutiements de la pornographie sur Internet. À une esthétique soignée et à un scénario convaincant, s’ajoutent tous les ingrédients d’un film exaltant : mafia, crime, sexe, quiproquos,mensonges, malversation…

Dans Middle Men, la moralité à la couleur de l’argent et la galerie de personnages secondaires, véritable succession de clichés, souligne l’impression parodique qui se dégage du film tout en lui donnant sa puissance drolatique : le gangster mafieux sans pitié, la starlette un peu paumée, le petit génie informatique mal dans sa peau, l’agent du FBI aux lunettes fumées, l’épouse modèle ou encore l’avocat malhonnête.

Sorti uniquement aux États-Unis, “Middle Men” sera disponible en France en DVD le 5 juillet prochain.

Synopsis :
En 1995 aux États-Unis, Internet en est encore à ses balbutiements. L’homme d’affaires Jack Harris (Luke Wilson) mène une vie parfaite et confortable : une belle petite famille et une carrière prometteuse.Il fait alors la connaissance de Wayne Beering (Giovanni Ribisi) et Buck Dolby (Gabriel Macht), deux génies un peu paumés qui ont inventé le moyen de consommer du porno en ligne en inventant le tout premier système de paiement par carte sur Internet. Incapables de gérer leur succès et totalement dépassés par les événements, ils demandent de l’aide à Jack.
Ce dernier, flairant la bonne affaire, imagine une compagnie de facturation traitant exclusivement de divertissements pour adultes. Pris dans un tourbillon de starlettes, d’escrocs, de mafieux russes et d’agents fédéraux, Harris apprend à ses dépens que même devenir l’un des plus riches entrepreneurs de sa génération ne peut suffire à lui éviter les ennuis.

UNE COMÉDIE DÉJANTÉE SUR LES ORIGINES DE LA PORNOGRAPHIE EN LIGNE
“Middle Men” retrace avec un humour noir et un cynisme assumé les débuts de la pornographie sur Internet et révèle comment faire de l’argent dans cette industrie sans enlever ses vêtements ! Tous les ingrédients d’une comédie déjantée sont réunis avec brio par George Gallo : sexe, sang, crime, mafia, FBI…
Le montage dynamique, qui fait la part belle aux flashbacks, associé à une bande-son impeccable (Tears for Fears, The Rolling Stones, Moby, etc.) produit l’effet escompté sur le spectateur qui jubile devant les situations rocambolesques auxquelles doit faire face le personnage principal.
Les dialogues ciselés et la voix off du “héros” omniprésente rythment également ce film qui file à cent à l’heure et durant lequel le spectateur ne peut s’empêcher de se demander comment tout cela va finir !

LES ACTEURS AUSSI DRÔLES QU’ÉPATANTS

LUKE WILSON – JACK HARRIS
Aussi talentueux que son frère Owen, Luke Wilson est un ancien joueur de base-ball reconverti dans le cinéma. Le premier à lui donner sa chance n’est autre que Wes Anderson, en 1994, dans “Bottle Rocket”. Il se révèle particulièrement doué pour les rôles comiques et sa carrière se poursuit avec des films comme : “Charlie et ses drôles de dames” et “Charlie’s Angels : les anges se déchaînent”, où il interprète le petit ami de Cameron Diaz avant de jouer un chasseur de têtes déguisé en étudiant candide dans “La Revanche d’une blonde” et “La Blonde contre-attaque”. Il enchaîne avec “Le Tour du monde en 80 jours”, “Esprit de famille”, “Ma super ex” et plus récemment avec “Idiocracy”. Il fait aujourd’hui partie, tout comme son frère, de ce que l’on appelle à Hollywood, le “Frat Pack” qui regroupe les acteurs comiques hollywoodiens du moment (Ben Stiller, Will Ferrell, Vince Vaughn, Steve Carell).

GIOVANNI RIBISI – WAYNE BEERING
Giovanni Ribisi débute sa carrière d’acteur sur le petit écran en interprétant des personnages secondaires dans “Mariés, deux enfants”, “Les Années coup de coeur”, mais surtout “Friends”, où il incarne Frank Buffay, le frère encombrant de Lisa Kudrow. C’est Spielberg qui lui donne sa chance au cinéma dans “Il faut sauver le soldat Ryan”. Il s’invite ensuite au casting de “60 secondes chrono”, puis à celui d’“Intuitions” où il joue aux côtés de Cate Blanchett et Keanu Reeves. Entre deux films, il retourne à la télévision où il apparaît dans “Entourage” et “My Name is Earl”. En 2009, on l’aperçoit dans deux fi lms à succès, “Public Enemies” et “Avatar”.

JAMES CAAN – JERRY HAGGERTY
Avocat mafieux dans “Middle Men”, James Caan retrouve un rôle familier, puisqu’il n’était autre que Santino ‘Sonny’ Corleone dans “Le Parrain”. Sa carrière est à son apogée dans les années 70 et il participe à de nombreux films : “Rollerball”,“Tueur d’élite”, “Un pont trop loin”. Claude Lelouch lui confiera d’ailleurs deux rôles dans “Un autre homme, une autre chance” et “Les Uns et les autres”. Il incarnera également un romancier séquestré dans “Misery”, adapté du roman de Stephen King, ou encore un parrain de la mafia dans “Dogville” de Lars Von Trier.

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