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Vivre à l’étroit en Île-de-France

La crise sanitaire et les multiples périodes de confinement qui se sont succédé entre 2020 et 2021 ont rappelé le rôle primordial des conditions de logement pour la qualité de vie des Franciliens. Le télétravail et l’enseignement à distance ont encore renforcé cette prise de conscience car ils conduisent à intensifier l’usage du logement.

Les différentes enquêtes menées depuis ont d’ailleurs mis en évidence le manque d’espace comme l’une des principales insatisfactions des Franciliens vis-à-vis de leur logement. Disposer d’un logement adapté à sa taille apparaît comme un facteur essentiel de bien-être mais aussi de santé, qui participe à la capacité des ménages à se projeter dans leurs parcours de vie.
 

Alors que le confort sanitaire n’a cessé de s’améliorer au cours des cinquante dernières années, la suroccupation*, déjà élevée en Île-de-France, continue de s’accroître.
Comment mettre fin à ces situations difficiles à vivre au quotidien ?

Premiers concernés : les familles monoparentales, les ménages atypiques**, les enfants et les jeunes

Parmi les ménages de deux personnes ou plus, les premiers concernés sont les familles monoparentales, les ménages atypiques*, les enfants et les jeunes

Une concentration spatiale 

Une aggravation du phénomène sur la période récente (2008-2018) 

L’étude complète à lire ICI

* Considérant que chaque ménage devrait disposer de suffisamment d’espace et d’un nombre de pièces permettant de préserver l’intimité de chacun de ses occupants, l’Insee a défini une norme d’occupation, à retrouver p.5 de l’étude

** plusieurs personnes sans lien familial direct