Covid-19 : Les diagnostiqueurs immobiliers de la FNAIM s’engagent plus avant dans la reprise de leurs activités

Sur le premier point, le diagnostic immobilier est effectivement un maillon essentiel de l’immobilier et du BTP, secteur lui-même crucial pour l’emploi et l’activité. Sans diagnostic immobilier à jour, aucune vente, aucune location ne peuvent être conclues. La gestion des copropriétés ne peut pas non plus fonctionner. De même, dans le BTP, l’analyse du risque amiante conditionne le maintien ou non de tout chantier.

Les diagnostiqueurs de la CDI-FNAIM ont pris acte du chemin étroit décrit par le Premier Ministre Edouard PHILIPPE dans son discours devant les députés le 28 avril, entre la responsabilité sanitaire et la responsabilité économique.

Ils ont répondu présent, en organisant économiquement l’indispensable reprise des interventions. Pour autant, celles-ci ne concèderont rien à la sécurité. Si cette garantie peut être donnée, c’est parce que les professionnels bénéficieront de multiples retours d’expériences. Ces derniers proviennent de la mise en œuvre du guide de bonnes pratiques, qui a été distribué auprès des adhérents à partir du 10 avril.

Depuis cette date, un ensemble de préconisations covid-19 permettaient de réaliser une partie des missions du diagnostiqueur. Le périmètre et les conditions d’intervention autorisés étaient destinés aux situations d’urgence. Ils tenaient compte du faible niveau d’activité dû au confinement.

Grâce aux enseignements ainsi accumulés, une seconde phase de reprise globale des activités -toujours sous protocole covid-19- peut être ouverte. La CDI-FNAIM a pris cette décision en pensant à ses adhérents, mais aussi à l’intérêt général, sachant que la gestion du risque est l’essence même du métier de diagnostiqueur.

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