Orange regrette une communication erronée de l’UFC Que Choisir sur les offres Open


L’UFC que Choisir a cru devoir dénoncer les offres Open d’Orange comme un « cadeau empoisonné », susceptible « d’emprisonner » nos clients et de limiter leur possibilité de « rejoindre un opérateur plus performant ou innovant ».

Sur la forme, Orange déplore que l’UFC n’ait pas estimé utile de lui communiquer sa plainte, ni même la teneur réelle de ses griefs, avant de communiquer.

Un tel échange aurait pourtant permis de clarifier la situation en faisant l’économie d’une plainte qui laisse à nouveau entendre, contre l’évidence, que le marché ne serait pas concurrentiel.

A la lecture des déclarations de l’UFC, on ne peut d’ailleurs que constater une méconnaissance profonde de nos offres. En effet, les abonnés Open ne sont précisément contraints par aucune durée d’engagement sur l’accès ADSL inclus dans leur offre. Ils sont totalement libres de résilier leur accès ou de changer d’opérateur haut débit à tout moment, sans aucune pénalité. Les assertions de l’UFC sont ainsi purement et simplement erronées.

Les offres Open sont en réalité reconnues depuis leur lancement pour leur caractère particulièrement innovant. Elles sont articulées autour d’un seul contrat, d’une seule facture, d’une seule relation client, à la fois pour le mobile et l’accès ADSL. Ce service, gage de simplicité et de transparence, leur assure un haut degré de satisfaction de la part de nos clients. Ainsi, le succès de la gamme Open ne se dément pas après 18 mois de commercialisation et plus d’un million d’abonnements souscrits.

Enfin, il convient de rappeler que les offres Open ont fait l’objet d’un suivi spécifique de l’Autorité de la concurrence, dans le cadre d’une enquête administrative depuis plus de 15 mois. Nul doute que l’Autorité n’aurait pas manqué de s’autosaisir au contentieux si une pratique litigieuse touchant nos offres avait pu être constatée dans ce cadre.

Orange ne peut dès lors ici que regretter une action orientée et mal-intentionnée de l’UFC, qui contribue a entretenir une fausse idée du niveau concurrentiel du marché français des télécoms à quelques jours du lancement d’un nouvel opérateur mobile.

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